Le Nouvel Observateur, 27 novembre 2008 – Le Nouvel Observateur consacre quelques lignes à la polyarthrite rhumatoïde, notant que « la question principale, quand on souffre de cette maladie, c’est l’accès aux biothérapies anti-TNF alpha ».
« Plus ils sont commencés tôt après le début de la maladie, meilleurs sont leurs résultats. Ils sont toutefois très chers, de 12 000 à 15 000 € par an », remarque l’hebdomadaire.
Le magazine constate en outre qu’« ils ont un effet suspensif et non curatif », et qu’« ils sont prescrits initialement à l’hôpital ou dans certaines structures privées participant du service public ».
Le Nouvel Observateur aborde également la spondylarthrite ankylosante.
L’hebdomadaire relève que pour cette pathologie, les anti-TNF « sont prescrits quand la spondylarthrite n’est pas contrôlée par les anti-inflammatoires classiques ».
Le magazine note que « cette maladie reste cependant sous-diagnostiquée en France », et indique : « En cas de grande fatigue inexpliquée, accompagnée de douleurs inflammatoires, il faut consulter un rhumatologue qui, si cela est nécessaire, vous prescrira un anti-TNF ».
ARCOXIA® (étoricoxib) : autorisation de mise sur le marché
Arcoxia® (étoricoxib) est un anti-inflammatoire non stéroïdien
(AINS) appartenant à la classe des inhibiteurs sélectifs de la cyclooxygénase
de type 2, aussi appelés coxibs. Il fait l’objet d’une
autorisation de mise sur le marché dans près de 70 pays, dont la
plupart des pays européens.
Les différentes procédures européennes, conduites entre …