(Le Quotidien du Médecin – 16 février 2009) « La décision de la commission de la nomenclature d’avaliser les baisses de tarifs des radiologues, à la demande du gouvernement et avec l’aval de MG-France, fait enrager les syndicats de spécialistes », constate Le Quotidien du Médecin. L’UMESPE, crie au « hold up » et juge que d’autres spécialités (dont les anesthésistes, la médecine nuclaire et les spécialités chirurgicales) doivent s’attendre à subir des baisses « dans les mois qui viennent ». Concernée en premier lieu, la Fédération des médecins radiologues (FNMR) parle d’une « attaque injustifiée et intolérable contre l’imagerie médicale ». « Etait-il bien responsable d’humilier les médecins en organisant le pillage des radiologues comme vient de le faire le Gouvernement, qui plus est avec la complicité active du syndicat MG-France ? », interroge Michel Chassang dans son « édito ». Du côté de MG-France, justement, on assume ses choix : « la question n’est pas de piquer l’argent des radiologues, mais d’appliquer le droit commun à la radiologie qui avait jusque là un régime d’exception permettant de coter 100% du tarif quel que soit le nombre d’actes. Qui peut s’opposer à corriger cette anomalie », interroge Vincent Rebeille-Borgella, vice-président du syndicat. Avant d’être applicable, « cette décision de nomenclature doit encore être soumise pour avis à la Haute autorité de santé et à l’UNOCAM (complémentaires santé) », puis approuvée par le ministère de la Santé, poursuit le journal qui estime que la procédure pourrait durer « deux mois et demi ».
Un médiateur pour les litiges médicaux
(Le Parisien - 8 janvier 2009 ; Egora.fr - 7 janvier 2009) "Le Médiateur de la République, Jean-Paul Delevoye vient de se voir confier de nouvelles missions et est désormais compétent pour recevoir toutes les réclamations mettant en cause le non respect du droit des...